"QUATRE SAISONS POUR UN FESTIN "

Après "Les quatre saisons du berger "et "Quatre saisons entre Marennes et Oléron", Jean-Paul Jaud nous livre le troisième volet des "Quatre saisons en France" en hommage au patrimoine français, à la richesse de sa nature, au savoir- faire de ces hommes.

Pendant une année, la caméra de Jean-Paul Jaud a suivi  Guy Savoy dans un tour de France unique. Pour la fin du siècle, ce grand chef cuisinier mondialement connu a décidé d'inviter à un festin, dix de ces principaux fournisseurs, afin de les remercier de leur savoir-faire et de leur travail exemplaire. Il nous emmène aux racines du terroir français. Ce sont ces gestes authentiques, ces histoires d'alambics et d'amuse- bouche, de morilles et de truffes....Un verre d'Yquem ou de St Joseph à la main , ces esthètes du goût nous régalent par leur simplicité et nous entraînent dans leur messe gourmande.

                       Pour commander commander.gif (2650 octets)

Pour faciliter en toute sécurité vos achats, nous avons le plaisir de vous annoncer la mise en place  du service Télécommerce, l' achat par Carte Bancaire vous assurant la  rapidité de livraison en toute sécurité.

ou par e-mail [email protected]

(avec vos nom, et coordonnées)

J+ B séquences vous confirmera par retour e-mail la prise en compte de votre commande .      

EN TOURNAGE

                             

"Quatre Saisons d’Yquem"

Sortie  2 0001

de la Collection "Quatre saisons en France"

Avec ce 4éme film de la série, Jean-Paul Jaud choisit un des symboles les plus nobles

et mystérieux du patrimoine français: Le vin ...et quel vin !!!:LE CHÂTEAU D’YQUEM

La lourde grille du mythique château s’entrouvrira pour nous dévoiler

tous les secrets d e ce "stradivarius" des vins

        

Quand le Botrytis  oeuvre.......

Des amateurs admiratifs et rêveurs, aux œnologues les plus avertis , tous seront émerveillés par la beauté de la naissance de ce vin 

Beauté aussi du travail des hommes rythmé par les saisons, pleins d’humilité et de respect face aux lois secrètes et imprévisibles de la nature.

 

Y aura-t-il de l’Yquem cette année?...

" Quand à mon goût, si constamment sollicité, agressé, dérouté, enchanté, déshonoré, négligé, il n’a qu’une seule référence parce qu’il ne saurait en avoir d’autre, le Château d’Yquem. L’apothéose du goût ! Je n’appelle pas l’Yquem un vin puisqu’il existe "des vins" et que l’Yquem est unique. Je préfère le mot nectar (breuvage des dieux), et si j’en trouve un plus noble, j’aurais moins honte de notre vocabulaire étroit qui se prête si mal aux superlatifs."

Frédéric Dard

Le paysage hivernal de la vigne pas encore taillée, avec ses sarments presque ocres, qui se détachent sur la rosée blanche des matins de Janvier.

A l’intérieur du Château d’Yquem dans la salle à manger boisée, Jean-Paul Kauffmann évoque avec Alexandre de Lur Saluces le passé de cette pièce, en 1785 chambre de Françoise Joséphine de Sauvage d’Yquem, déjà héritière d’une longue tradition. Cette femme aimait cet endroit. Elle pouvait y observer son vignoble, par ces deux fenêtres orientées à 90 degrés l’une de l’autre. Par une matinée claire et froide, ayant quitté le feu de cheminée, les deux hommes découvrent la propriété située entre la Garonne et le Ciron et dominant le Sauternais. Les vignes, les forêts de pins mutilées par la tempête, les habitations des employés d’Yquem situées sur la propriété, même le terrain de football!

Ils vont se retrouver ainsi au fil des quatre saisons pour évoquer ensemble la vie du chai, de la vigne, et surtout les gens d’Yquem et leur travail. Ici, chacun est responsable d’une parcelle . Comme chaque hiver le passage des grues accompagne l’arrivée du froid. Les hommes taillent les pieds de Sémillon et de Sauvignon. Puis les femmes enlèvent à la main les sarments pour les faire brûler dans des brouettes dignes de "Mad Max"..

Les soixante cinq personnes d’Yquem ont un rôle prépondérant dans la pérennité de l’oeuvre. C’est un travail phénoménal, exécuté de façon manuelle, acte indispensable à la réalisation du meilleur vin blanc du monde. Tous et toutes veillent sur ce cru jusqu’aux vendanges. Tous les gestes sont remarquables : La taille, le liage, l’épamprage, le prélevage, la plantation, le levage, l’effeuillage précédent celui de la mythique vendange, où en plusieurs tries, les gens d’Yquem essayent d’accoucher la nature. Ils savent bien que c’est elle qui commande.

Ce rituel est illustré par les propos de Jean-Paul Kauffmann et d’Alexandre de Lur Saluces conscients que le "breuvage" est somptueux et mémorable, si toutes les conditions favorables à la naissance de l’Yquem sont réunies. L’hiver doit être froid et sec, le printemps clément, sans gelées excessives avec des orages menaçants, uniques dans le Sauternais, afin que le taux d’humidité soit propice à la croissance correcte de la vigne. Pendant tout l’été le ciel d’un bleu limpide doit accompagner le travail des gens d’Yquem, sans chaleur torride entraînant une sécheresse peu favorable. Et puis dans les premiers jours d’automne et jusqu’à la fin du mois de novembre, il faut que la brume du matin enveloppe le raisin, favorisant le développement du fameux Botrytis Cinerea, la pourriture noble, miracle de ce vin.

Les visiteurs d’Yquem ponctuent aussi ses quatre saisons : Un fidèle client d’Yquem passe pour le reconditionnement de sa bouteille de Château d’Yquem 1930, exécuté avec tellement de délicatesse par la première femme, chef de chai à Yquem, Sandrine Garbay. Un dîner paisible à Yquem en compagnie de Bernard Clavel , Frédéric Dard, Guy Savoy et Jean-Paul Kauffmann, invités par Alexandre de Lur Saluces, nous fait partager les moments de complicité de ces amoureux fous d’Yquem

Alors, à la fin du mois d’octobre les fameuses accabailles sont émouvantes, joyeuses dans l’enceinte du domaine et tous les gens d’Yquem rendent grâce à la nature car ...Il y a eu du Yquem cette année!

              

Retour à la première page

J+B SEQUENCES-Tous droits réservés